11 août 2008

Boutons, capots, pare-brises et cruise-control


Ce tournage de six jours (130 plans) m'a bizarrement épuisé. Je mets ça sur le compte de l'overdose de travail de ces derniers mois, et de la concentration nécessaire pour faire simple (et rapide) tout en soignant les détails.

5 commentaires:

  1. hello

    20 plans par jours c'est pas mal pour un objet de luxe

    est-ce que tu travaillais avec un story board ?

    à plus
    L.

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  2. Non pas de story mais une "shooting list" qui comprenait les plans à faire en fonction des 4 modèles de voiture. Chaque voiture a ses spécificités. Mais nous étions libres de filmer les fonctionnalités sous les angles les plus parlants sans avoir à coller à un storyboard, qui nous aurait réduit les angles à quelque chose de plus orthonormé.

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  3. Anonyme13.8.08

    Ca fait des mois que je suis votre blog et vos déplacement. Vous êtes pour moi un modèle. C'est simplement magnifique ce que vous faites.
    Voilà c'est dit!

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  4. Merci beaucoup Daniel!!! Ca me fait chaud là où il faut ;-) Je vais garder votre post pour me donner du courage les jours de gros blues.
    Bien à vous,
    Pascal

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  5. Anonyme19.12.08

    Je rebondis d'un post à l'autre pour revenir sur cette question dont peu de professionnels parlent, s'agissant du blues ressenti au delà de la fatigue, par de nombreux intervenants au cours de leur carrière (Cineastes, ChefOp, techniciens..).
    Bien entendu, le cinéma fait rêver, mais paradoxalement, beaucoup d'entre nous oublient ou méconnaissent, la réalité de ce qui participe souvent à l'altération de la passion qui a conduit ces professionnels à exercer leur art, au départ, avec une candeur inaltérable.

    Est-ce que vous pourriez expliquer les raisons pour lesquelles, vous même, exprimez de temps à autre, un "gros blues"..
    Cordialement,
    Maubrun

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