Les têtes soft (à gauche) et dures à droite.
Speedy, mon chat. Si je vous le montre, c'est pour vous donner une idée de la taille du sac de transport des deux nouveaux HMIs Dedolight. 2 trépieds, 2 lampes, 2 ballasts électroniques, des câbles et une grande soft box.
J'aime beaucoup les Dedolights traditionnels, qui permettent de travailler la lumière tungstène avec une très grande précision.
Mais pour les situations où la lumière prédominante est celle du jour, je me tournais jusque-là vers les Kinoflos ou de petits HMIs comme le Joker Bug de K5600.
Pour préparer un long métrage que je tournerai cet été au Maroc, je me suis demandé s'il existait une solution "daylight" de type Dedolight (réponse: oui), et j'ai demandé à un loueur de la place (Visuals Switzerland) de m'en procurer deux pour des tests.
Des tests si concluants que je pars à Moscou avec ces Dedos, tourner des films courts pour une marque de glace. Il est vrai que ces HMI ressemblent furieusement à ce que K5600 a développé depuis quelques années, mais la possibilité de changer de température de couleur en quelques secondes (soit avec un filtre soit en changeant l'ampoule) me paraît déterminante.
Autre avantage: la grande taille de la soft box, qui émet une lumière encore plus flatteuse pour les visages.
De plus, les développeurs chez Dedo ont l'obsession de la portabilité. Ils arrivent à réduire l'encombrement et le poids à un strict minimum, ce qui est crucial pour les tournages à l'étranger.
Je suis photographe et je trouve que les Dedolights donnent une lumière magnifique. La softbox donne un modelé sur les portraits assez bluffant.
RépondreSupprimerEn revanche je trouve qu'il est difficile de se les procurer à l'achat en France.
Merci Pascal pour avoir indiquer Visuals Switzerland dans ton rapport. :-) Yannick
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